Total War: NAPOLEON Les Unités de la Grande Armée

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Pour les joueurs de Naval Action, si vous êtes intéressé par  unités de la grande armée, voici un guide classant toutes les unités de la grande armée.  Voyons voir.

 

Fusiliers de ligne

  • Unités de base de la Grande armée, aussi appelée « lignards », ils composent l’essentiel de l’infanterie. Disposés au centre d’un bataillon, formé en ligne pour l’efficacité du feu et pour laisser peu de surface à l’artillerie, les fusiliers sont par ailleurs équipés, sous Napoléon, d’une baïonnette amovible.

Carabiniers à pied

  • Infanteries légères d’élite, placées à droite du bataillon, les carabiniers comptaient parmi les tireurs les plus efficaces de l’armée. La taille exceptée, ils étaient assez similaires aux grenadiers: fusil, épaulettes rouges et shako. Tout comme les autres unités d’infanterie légère, ils pouvaient être positionnés en tirailleurs, mais étaient en réalité utilisés le plus souvent de la même manière que l’infanterie de ligne.

Grenadiers à pied de la Vieille garde

  • « Grognards » dans l’âme, les grenadiers à pied de la vieille garde sont l’élite de l’infanterie de la Grande Armée. Leur unité est constituée des meilleurs soldats, ceux qui ont montré le plus de bravoure au combat. Pour y entrer, c’est 1 m 76 et 12 ans de service minimum! Outre le célèbre bonnet à poil et son triangle en laiton, le grenadier de la garde porte la moustache et un anneau en or à chaque oreille. En campagne, ils vivaient aux côtés l’Empereur et lui étaient d’une fidélité exemplaire, comme le montre bien la gravure d’Auguste Raffet intitulée:« Ils grognaient, et le suivaient toujours. » Au combat, ils se sont toujours montrés redoutables, notamment à la baïonnette dans le cimetière d’Eylau. Ils étaient craints dans toute l’Europe et considérés comme la meilleure unité d’infanterie de leur temps. Chasseurs à pied de la vieille garde: à ne pas confondre avec les chasseurs de l’infanterie légère, les Chasseurs à pied de la garde constituent une unité d’élite. Avec les grenadiers, ils forment le gros de l’infanterie de la vieille garde. Les hommes composant ce régiment étaient des vétérans endurcis, au sang-froid exemplaire,et ayant participé à de nombreuses campagnes. Contrairement aux grenadiers, ils ne portaient pas de plaque métallique sur leur bonnet à poil, et la taille réglementaire était inférieure. Toujours aux côtés de l’Empereur, ces « grognards » comptaient néanmoins parmi l’élite de la grande armée. Leur commandant le plus célèbre n’était autre que le général Cambronne.

Chasseurs à pied de la Vieille garde

  • Attention à ne pas confondre avec les chasseurs de l’infanterie légère, les Chasseurs à pied de la garde constituent une unité d’élite. Avec les grenadiers, ils forment le gros de l’infanterie de la vieille garde. Les hommes composant ce régiment étaient des vétérans endurcis, au sang-froid exemplaire, et ayant participé à de nombreuses campagnes. Contrairement aux grenadiers, ils ne portaient pas de plaque métallique sur leur bonnet à poil, et la taille réglementaire était inférieure. Toujours aux côtés de l’Empereur, ces « grognards » comptaient néanmoins parmi l’élite de la grande

Voltigeurs et tirailleurs

  • Infanteries légères par excellence, les voltigeurs font partie des unités ayant le plus combattu. Ils pouvaient être utilisés pour franchir des terrains difficiles, en tant qu’éclaireurs, comme infanterie de ligne, ou se former en tirailleurs devant la ligne. Cette formation espacée, typique des fantassins légers, permettait de faire des ravages chez l’ennemi, sans s’exposer durement à son feu ou à son artillerie. En revanche, cette formation était très vulnérable face à la cavalerie.

Artillerie et train

  • Domaine de formation de l’Empereur, raison majeure de son succès à Toulon, l’artillerie est l’arme savante par excellence. Elle est divisée en trois types d’unité : l’artillerie à pied, l’artillerie à cheval, et le train (chargé du transport des pièces). Sous l’Empire, elle bénéficie des améliorations du système Gribeauval simplifié et incarne l’une des pièces maîtresses de la stratégie de Napoléon. Pendant des années, les bouches à feu napoléoniennes vont faire pleuvoir le fer dans toute l’Europe, avec un nombre toujours croissant : 200 canons français à Eylau, 500 à Wagram. On parle de 150.000 coups de canon tirés à la bataille de Leipzig ! À plusieurs reprises, l’Empereur chargera lui-même les pièces de l’artillerie de la Garde (image)… en souvenir du bon vieux temps.

Sapeurs et pontonniers du Génie

  • Les sapeurs avaient pour mission de détruire les fortifications adverses. Théoriquement du moins, car l’Empereur préférait les utiliser pour l’encerclement de positions fortifiées et même directement pour monter à l’assaut. Les pontonniers, comme leur nom l’indique, étaient chargés de construire des ponts pour permettre le passage des armées. Bien souvent, ils ont permis à Napoléon de déborder l’ennemi. Détenant un rôle capital lors des campagnes, les pontonniers ont, en outre, sauvé l’armée de la destruction totale en donnant leur vie dans l’eau glacée de la Bérézina, en 1812.

 

Lanciers polonais de la garde

  • Formés en 1807, les chevau-légers polonais démontrent toute leur bravoure en Espagne (particulièrement la charge de Somosierra) avant d’être intégrés, en tant que lanciers, à la Garde impériale. Recrutés parmi la noblesse polonaise et commandés par le colonel Krasiński, ils se montrent redoutables pendant la campagne de Russie au point d’être craints par les cosaques. Fidèles à Napoléon, braves, ils combattent sans relâche pendant la campagne de France. Certains suivent l’Empereur à l’île d’Elbe. À Waterloo, les chevau-légers lanciers polonais chargent vaillamment aux côtés des lanciers rouges (hollandais). Dissous à la chute de l’Empire, ils sont considérés comme la meilleure unité de cavalerie légère de leur temps.

Chasseurs à cheval

  • Sans doute l’unité préférée de l’Empereur, qui portait régulièrement son célèbre uniforme vert de colonel, jusqu’à Sainte-Hélène et même pour sa mise en bière. Les chasseurs à cheval appartenaient à la cavalerie légère. Ils avaient donc pour mission d’être les yeux de l’armée en reconnaissance, de poursuivre les armées en retraite ou au combat, d’attaquer l’ennemi par les flancs ou l’arrière. Un régiment de chasseurs à cheval figurait au sein de la vieille garde. Ce dernier s’est illustré de nombreuses fois au combat, comme à Austerlitz ou à Eylau, et a souvent dégagé Napoléon de situations critiques.

Cuirassiers

  • Unités de cavalerie lourde par excellence, les cuirassiers avaient pour fonction principale de briser les lignes ennemies par des charges puissantes. Ils pouvaient également combattre la cavalerie adverse et poursuivre les armées en retraite. Leurs charges étaient si impressionnantes que les témoins de l’époque rapportent qu’elles faisaient trembler tout le champ de bataille, ce qui est formidablement décrit dans « Le Colonel Chabert » de Balzac. Ils étaient surnommés « les Hommes de fer », ou « les Gros Frères » et ont été commandés par les meilleurs généraux de l’épopée napoléonienne, tels Ney et Murat. Équipés d’une cuirasse de 3 mm d’épaisseur, pesant 7 kg, ils étaient protégés des coups de sabre, mais pas des balles.

Grenadiers à cheval de la Garde

  • Régiment de cavalerie lourde le plus ancien et le plus emblématique de la garde impériale, les grenadiers à cheval n’ont jamais été vaincus au combat. Tout au long de l’épopée, ils interviennent peu lors des batailles, restant généralement aux côtés de Napoléon, mais chacune de leurs interventions donne des résultats spectaculaires. Craints et respectés, ils mettent en déroute la garde du tsar à Austerlitz, exécutent un aller-retour meurtrier dans les rangs russes à Eylau (image), et se montrent décisifs, parfois par leur seule présence, lors de la Campagne de France. Après une dernière charge à Waterloo, leur régiment est dissous lors du retour des Bourbons.

Dragons

  • Avec les lanciers, les dragons forment ce que l’on appelle la cavalerie de ligne, destinée à créer une faille dans les rangs ennemis. Les dragons se déplacent à cheval, mais peuvent également combattre à pied. Sous l’Empire, ils se distinguent notamment lors de la campagne de 1805, puis servent essentiellement en Espagne. Satisfait de leur bravoure, l’Empereur décide de la création des « Dragons de l’Impératrice », seul régiment de cavalerie de ligne intégré à la Garde impériale. Après l’Espagne ils se montrent décisifs à Leipzig, puis lors de la campagne de France. À Waterloo, les dragons subiront de lourdes pertes sur le plateau de Mont-Saint-Jean.

Mamelouks de la Garde

  • Cavalerie légère ramenée d’Égypte par Bonaparte, les Mamelouks constituent le premier élément étranger rajouté à la Garde impériale. Ils participeront, toujours à la suite des chasseurs à cheval, à presque tous les combats de l’épopée, se montrant décisifs à Austerlitz, assurant l’ordre en Espagne, et participant même à la campagne de Russie. Certains Mamelouks fidèles suivront l’Empereur sur l’île d’Elbe. Ils seront présents à Waterloo avant d’être dissous et renvoyés au dépôt de Marseille au retour du roi. Beaucoup y sont d’ailleurs assassinés lors de la Terreur blanche de 1815.

Gendarmes d’élite de la Garde

  • Créée en 1801, la gendarmerie d’élite était « spécialement chargée du maintien de la sûreté publique, et de la police dans le lieu où réside le gouvernement ». Durant les campagnes, les Gendarmes sont chargés de la protection de l’Empereur. Ils interviennent en Espagne pour contrer la guérilla, puis à partir de 1812 et de la campagne de Russie, ils sont utilisés comme une cavalerie lourde d’élite et participent pleinement aux combats.

Hussards

  • Cavalerie légère emblématique de l’ère napoléonienne, dont le plus célèbre élément n’était autre que le général Lasalle. Voués à des missions d’éclairage et de harcèlement, les hussards ont montré leur bravoure à de nombreuses reprises. Entre autres, ils sont à l’origine de la capture de la flotte hollandaise du Texel (1795) ou encore la prise de la forteresse de Settin (1806). Plus qu’une unité, hussard était également un mode de vie, mêlant alcool, femmes et bagarres en tout genre.

Carabiniers à cheval

  • Cavaleries lourdes d’élite, les carabiniers étaient, comme leur nom l’indique, équipés essentiellement d’une carabine. Sous l’Empire, on ne comptait que deux régiments de carabiniers à cheval. Leur courage leur vaut des pertes nombreuses, notamment face aux uhlans autrichiens. Ainsi, à partir de 1810, Napoléon les fait équiper d’une cuirasse (jaune, pour les différencier des cuirassiers).

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Crédit à Fylou